à Propos du Prisoner of the State de David Lang, pour l’orchestre Philharmonique de New York (2019):

“[…] As the Assistant, Julie Mathevet, a young, radiant soprano, conveyed both the despair and bitterness in the vocal lines […]”

The New York Times

“[…] The sheer gorgeousness of the vocal overlays and harmonies of singers Julie Mathevet […]”

New York Music Daily

“[…] The acting is as strong as the singing. Mathevet’s tantalizingly brief flights upward are matched by a resolute presence […]”

New York Music Daily

“[…] On stage were the major figures: the diminutive “assistant” (nameless but obviously Leonora, played by the lyrical miracle, Julie Mathevet) […]”

Concerto Net

http://www.concertonet.com/scripts/review.php?ID_review=9042

Julie Mathevet, Albane Carrère, Cyrille Dubois et Guillaume Andrieux composent un irrésistible quatuor de jeunes gens. La palme de la révélation revient à la première nommée, interprète d’Eglé, une soprano colorature à la voix épicée, à l’intonation nuancée et à l’élocution claire qui restitue avec aisance et audace la fraîcheur, l’impudeur et la naïveté de son personnage.

Sébastien Foucart

http://www.forumopera.com/spectacle/cupidon-is-watching-you

Mention spéciale à Julie Mathevet, Eglé naïve et émerveillée d’elle-même, dont les talents d’actrices font souffler un indispensable vent de fraîcheur juvénile sur la pièce.

Nicolas Derny

http://www.forumopera.com/spectacle/offenbach-redescend-sur-terre

La Fantasia de Julie Mathevet ? C’est elle qui nous décroche la lune en jonglant entre bouffe et lyrique. Et elle ne se prive pas de nous rappeler quelle mozartissime Reine de la Nuit elle fut à Lyon, en convoquant une inattendue autant que bienvenue cascade d’aigus cristallins dans les fameux couplets « Ah ! mon papa ! » où la virtuosité le dispute à la cocasserie.

Roland Duclos

http://www.forumopera.com/le-voyage-dans-la-lune-massy-comment-decrocher-la-lune

Une mention toute spéciale à l’excellent prince Caprice de Marlène Assayag, qui possède parfaitement le style d’Offenbach, qu’elle agrémente d’un jeu et d’une prononciation parfaits, et à la délicieuse Fantasia de Julie Mathevet, une voix et une personnalité qu’il conviendra de suivre avec attention.

Jean-Marcel Humbert

http://www.forumopera.com/spectacle/degout-et-des-couleurs

Et pour une fois, Yniold évite le ridicule : Julie Mathevet, sans minauderie ni enfantillage, donne une certaine épaisseur au rôle de cet enfant pris dans des jeux d’adultes.

Claude Jottrand

https://bachtrack.com/fr_FR/critique-pelleas-et-melisande-opera-de-paris-robert-wilson-bastille-fevrier-2015

Nous noterons la performance de la soprano Julie Mathevet, dont le timbre clair passe volontiers pour enfantin et sied parfaitement au rôle du petit Yniold

Caroline Dessaint

En Reine de la Nuit hystérique, Julie Mathevet a conquis le public, interprétant à merveille ses deux airs parmi les plus redoutés du répertoire de soprano

Alain Huc de Vaubert